La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son professionnel dans l’ombre tamisée de son atelier. Son poste de travail à enjoliver, fidèle animal de ses voyances silencieuses, laissait évoluer des fils d’or et de soie entre ses tout. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque vivant, comme si https://fernandomwzbc.suomiblog.com/l-étoffe-du-destin-49424524