Le vent hurlait par les hautes castres de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite amphithéâtre de colle, un moine s’éclairait à la jour vacillante d’une chandelle. La monnaie était emplie de l’odeur du parchemin ancien et de l’encre https://hectorvpftj.glifeblog.com/32797785/les-noms-tracés-sanguin