Tokyo brillait sous les néons, un réseau de lumières pulsantes qui reflétaient la cadence ininterrompue des expériences circulant dans l’infrastructure numérique de le petit village. L’ingénieur observait les flux d’informations défiler sur son écran, chaque personne analysé, disséqué, converti en probabilités. Son accord artificielle, baptisée Oracle-9, était la plus avancée https://stephenamuyc.canariblogs.com/l-oracle-numérique-48767356