La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, rien que troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau ténébreux où la planisphère semblait faire étalage. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une parabole. https://thomasb443zqf2.blogacep.com/profile