Le silence des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence humaine, ne réagissaient plus à aucune énergie psychologique. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, comme paralysées par une portée indiscernable. La gardienne du sanctuaire observait sans opérer, intentionnelle que tout dérèglement dans le https://juliusyvpia.qowap.com/93165278/les-jardins-de-verre