Au cœur des ruelles labyrinthiques de Makoko, quartier flottant de Lagos, les voix se mêlaient aux klaxons, aux cris des responsables, aux sons métalliques des barques qui s’entrechoquaient. Là, tout s’échangeait : marchandises, symboliques, rumeurs. Et c’est dans cette cacophonie vivante qu’Abeni installa son modeste rai, marqué par une toile https://meilleur-voyance-gratuite73691.blogminds.com/le-coût-des-équilibres-31185381