La pognon semblait dès maintenant marquer seule. Le fin des murs, patiné par les cycles, conservait une tiédeur étrange, par exemple s’il absorbait l’écho des présences léguées. Les boules de cristal oscillaient à des rythmes que seule Alžbeta savait déceler. Chaque aube, elle observait de nouvelles combinaisons se former : https://laurianavoyance80998.blogdeazar.com/34385397/les-minutes-suspendues